Un regard dans un autre monde

Extrait du début de l'écrit :

« Cet écrit doit être la préparation pour une ère nouvelle. Une époque qui sera d’une tout autre nature. Elle devra être empreinte d’une modalité qui verra l’humanité s’adapter aux forces de la nature et de l’essentialité et utiliser leur aide pour toutes sortes de conceptions et d’élaborations, tandis qu’une autre partie de l’humanité travaillera à sa propre perte. Une
époque où la technologie également reposera sur les forces de l’essentialité. C’est une forme de vie encore complètement étrangère à l’homme d’aujourd’hui, mais elle seule peut le conduire à une grandeur insoupçonnée et être un bienfait pour lui sur le long terme...

Ce sera l’époque où les forces énergétiques pourront, selon la conception actuelle, être en
apparence puisées du néant, puisque l'être humain pourra accéder à d'autres sphères dont les sources énergétiques lui sont encore inconnues aujourd'hui, mais pratiquement inépuisables...

Cela permettra non seulement de mieux comprendre le contenu qui va loin au-delà de la conception actuelle, mais aussi de le recueillir en esprit.»

La défaillance de l'humanité

Extrait du début de l'écrit :

« Avant d’aborder le sujet proprement dit, j’invite le lecteur, après ce qu’il a retiré de l’écrit « Un regard dans un autre monde », à sonder en lui-même, au plus profond, où donc se situe sa propre conscience et où elle trouve son origine. Il se peut que, chez certains, survienne encore l’idée que, au fond, cela ne peut s’expliquer de façon concluante qu’en s’en tenant essentiellement à l’interaction de la biologie, de la physique et de la chimie.

À tous ceux qui restent indécis face à cette question, mais considèrent comme trop
abstraite encore une autre explication, je voudrais d’entrée de jeu exposer deux thèses
de conceptions de vie très différentes.

Première thèse :
L’être humain est constitué des éléments de base de la matière. Ceux-ci ont évolué, au fil des millénaires, au travers de processus très complexes impliquant les plus petits éléments constitutifs tels que les atomes, l’ADN et les gènes, mais aussi les molécules et ainsi de suite jusqu’aux fibres nerveuses, pour se développer vers une conscience. Cette conscience se constitue alors en tant que patrimoine génétique et base de son propre genre dans le cerveau. Voilà, en résumé, ce qui a été exploré par la science au cours de longues années de mesures. Le tout a ensuite été étiqueté avec le terme « évolution », et tout ce qui a un quelconque rapport avec ce développement y a été intégré. En dehors des connaissances fondées sur cette évolution, il n’y a rien de mesurable et donc de démontrable.
Toutes les suppositions provenant pour la plupart de milieux religieux, spirituels ou ésotériques, qui voudraient s’élever bien au-delà des conclusions tirées par la science, sont vraiment extrêmement intéressantes parfois mais n’en restent pas moins des hypothèses hautement utopiques. Pour aussi intéressantes qu’elles puissent paraître, de telles idées ne peuvent être prises au sérieux que par des personnes très imaginatives ou fantasques. Celles-ci semblent n’avoir jamais appris à se placer sur le terrain de la réalité, mais naviguent encore dans la crédulité et la naïveté propres aux débuts de l’humanité, laquelle a pourtant été éclairée entre-temps en particulier par la science !


Seconde thèse :
Seul le corps humain correspond réellement à l’image décrite plus haut. Dans ce domaine, la recherche a effectivement fait du bon travail.
Mais au-delà de cela, une nature2 autre, non matérielle, existe aussi en l’être humain. Précisément parce qu’elle est immatérielle, celle-ci ne peut pas être reconnue par la science, même avec ses moyens techniques les plus sophistiqués. Or, la qualifier d’inexistante à cause de cela, c’est aller bien trop loin.
Cette nature ou ce genre ne restera qu’une perpétuelle théorie, même pour les chercheurs ouverts, car son existence peut être pressentie ou présumée par eux dans le meilleur des cas, sans jamais pouvoir être prouvée. Mais c’est bien cette nature en l’être humain qui fait de lui un être vivant. Elle est ce qui fournit au corps sa propre conscience en soi. Et donc, tout ce que la science a exploré n’est rien d’autre que de la matière embrasée de part en part et animée ainsi par cette dernière !

Si vous êtes entièrement satisfait par la première thèse, alors vous pouvez sans crainte
à ce stade mettre ce texte de côté. Le monde purement matériel est donc votre domaine, et tout ce qui est discuté dans ce traité dépassera votre capacité d’en reconnaître davantage. Il vous manque tout simplement le désir d’être plus qu’un humanoïde biologique intelligent.
Mais si vous voulez adhérer à la seconde thèse élargie, alors vous vous plongerez avec cet écrit dans un univers qui vous montrera qui vous êtes vraiment, vous-même...»

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